Georges Olivari, directeur de la maison régionale de l’eau, nous attend à Sigale, sur les rives de l’Estéron… Il en sait long sur les rivières et ça tombe bien car la trentaine de personnes présentes et pour la plupart de la vallée, ne sont pas avares en questions !L’Estéron est-il en bonne santé ? Après l’observation des organismes récoltés dans la rivière, il semble que la qualité de l’eau soit bonne… En effet, certaines ''petites bêtes'' sont des témoins du bon état de la rivière, et nous les avons trouvées... Le rejet de la station d’épuration n’est pas nocif pour la rivière ? Après une petite visite de la station d’épuration de Sigale, commentée par par le maire, Arnaud Prigent, les participants se demandent à juste titre, quel est l’impact des eaux usées qui retrouvent, in fine, le milieu naturel. Monsieur Olivari nous rassure : les éléments qui restent dans l’eau après son traitement sont utilisés comme des nutriments par les végétaux et les animaux qui peuplent la rivière. Bien sûr, tant que personne ne rejette de polluant particulièrement nocif ou en forte quantité. L’Estéron, en excellente forme, c’est ce qui ressort d’une étude récente du WWF qui la classe dans le trio de tête des rivières les plus préservées de tout l’arc alpin. Au fil de l’après-midi, on en apprend encore sur l’Estéron : la diversité des poissons que l’on y trouve, sa capacité à stocker l’eau et la redistribuer en période sèche grâce aux massifs calcaires, et bien d’autres secrets de rivière…Pour longtemps encore ? L’après-midi s’est terminée par la projection de "L’Estéron, vu du ciel…" une vidéo proposée par le Conseil de développement du Parc qui nous permet d’apprécier le caractère préservé de la vallée de l’Estéron ! Cette vallée, ses habitants s’en préoccupent car ils savent que des activités peuvent menacer cette précieuse ressource. En effet, l’eau du bassin versant assure l’approvisionnement en eau des locaux mais aussi de plusieurs villes de la côte. A cette première pression s’ajoutent aussi les pollutions agricoles et domestiques, les activités de canyoning, de baignade, etc. Ainsi, tout le monde s’accorde à penser qu’il faut continuer à concilier les usages de cette eau pour un développement durable de la vallée… à chacun d’agir à son échelle ! Georges Olivari, directeur de la maison régionale de l’eau, nous attend à Sigale, sur les rives de l’Estéron… Il en sait long sur les rivières et ça tombe bien car la trentaine de personnes présentes et pour la plupart de la vallée, ne sont pas avares en questions ! L’Estéron est-il en bonne santé ? Après l’observation des organismes récoltés dans la rivière, il semble que la qualité de l’eau soit bonne… En effet, certaines ''petites bêtes'' sont des témoins du bon état de la rivière, et nous les avons trouvés... Le rejet de la station d’épuration n’est pas nocif pour la rivière ? Après une petite visite de la station d’épuration de Sigale, commentée par Arnaud Prigent - le maire - les participants se demandent à juste titre, quel est l’impact des eaux usées qui retrouvent, in fine, le milieu naturel. Monsieur Olivari nous rassure : les éléments qui restent dans l’eau après son traitement sont utilisés comme des nutriments par les végétaux et les animaux qui peuplent la rivière. Bien sûr, tant que personne ne rejette de polluant particulièrement nocif ou en forte quantité. L’Estéron, en excellente forme, c’est ce qui ressort d’une étude récente du WWF qui la classe dans le trio de tête des rivières les plus préservées de tout l’arc alpin. Au fil de l’après-midi, on en apprend encore sur l’Estéron : la diversité des poissons que l’on y trouve, sa capacité à stocker l’eau et la redistribuer en période sèche grâce aux massifs calcaires, et bien d’autres secrets de rivière… Pour longtemps encore ? L’après-midi s’est terminée par la projection de L’Estéron, vu du ciel… une vidéo proposée par le Conseil de développement du Parc qui nous permet d’apprécier le caractère préservé de la vallée de l’Estéron ! Cette vallée, ses habitants s’en préoccupent car ils savent que des activités peuvent menacer cette précieuse ressource. En effet, l’eau du bassin versant assure l’approvisionnement en eau des locaux mais aussi de plusieurs villes de la côte. A cette première pression s’ajoutent aussi les pollutions agricoles et domestiques, les activités de canyoning, de baignade, etc. Ainsi, tout le monde s’accorde à penser qu’il faut continuer à concilier les usages de cette eau pour un développement durable de la vallée… à chacun d’agir à son échelle !