Revenons à tes créations, travailles-tu par collections, par saisonnalité ? G.G : Je travaille la laine, aussi je concentre logiquement mes ventes sur l’automne/hiver et réalise les modèles le reste du temps. A quoi ressemble ressemble l’antre de la créatrice textile ? G.G : Des étagères de boîtes d’où débordent des écheveaux de laine, des pelotes de fils de toutes sortes rangées par couleur, des bocaux de perles chinées dans les brocantes, des piles de tissus, des caisses de rubans, passementerie, galons, des boîtes à chaussure pleines de chutes de textiles divers, récup de soie peinte, tissage, feutre de laine, morceaux de tricot, de cuir,..., (merci aux amies créatrices qui me fournissent ces trésors), des boîtes transparentes remplies de nappes de laine cardée et de mèches de soie, une petite caverne d’Ali Baba et un joyeux bazar... Hormis les boutiques qui présentent tes pièces, on te rencontre souvent sur des salons. Comment les choisis tu ? G.G : Je participe une fois par an, en septembre, à Maison&Objet. C’est un salon professionnel dont le but est d’être visible par les boutiques. J’en profite pour rendre hommage au travail des Ateliers d’art de France dont je suis adhérente et qui me permettent de participer à ce salon en m’apportant soutien financier et logistique. Pour ce qui concerne, les salons publics, je suis souvent présente à l’automne sur des manifestations labellisées Métiers d’art où l’on rencontre un public sensible à notre travail et très fidèle. Pour en citer quelques uns : les Rencontres annuelles de la laine (Felletin, Creuse, fin octobre), Résonances, salon européen des métiers d’art (Strasbourg, mi-novembre), St leu Art Expo, salon Métiers d’art (Région parisienne, fin novembre), … Merci Ghislaine, en conclusion, dis-nous ce qui te fait te lever le matin... G.G : L’odeur du café ! Revenons à tes créations, travailles-tu par collections, par saisonnalité ? G.G : Je travaille la laine, aussi je concentre logiquement mes ventes sur l’automne/hiver et réalise les modèles le reste du temps. A quoi ressemble ressemble l’antre de la créatrice textile ? G.G : Des étagères de boîtes d’où débordent des écheveaux de laine, des pelotes de fils de toutes sortes rangées par couleur, des bocaux de perles chinées dans les brocantes, des piles de tissus, des caisses de rubans, passementerie, galons, des boîtes à chaussure pleines de chutes de textiles divers, récup de soie peinte, tissage, feutre de laineHormis les boutiques qui présentent tes pièces, on te rencontre souvent sur des salons. Comment les choisis tu ? G.G : Je participe une fois par an, en septembre, à Maison&Objet. C’est un salon professionnel dont le but est d’être visible par les boutiques. J’en profite pour rendre hommage au travail des Ateliers d’art de France dont je suis adhérente et qui me permettent de participer à ce salon en m’apportant soutien financier et logistique. Pour ce qui concerne, les salons publics, je suis souvent présente à l’automne sur des manifestations labellisées Métiers d’art où l’on rencontre un public sensible à notre travail et très fidèle. Pour en citer quelques uns : les Rencontres annuelles de la laine (Felletin, Creuse, fin octobre), Résonances, salon européen des métiers d’art (Strasbourg, mi-novembre), St leu Art Expo, salon Métiers d’art (Région parisienne, fin novembre), … Merci Ghislaine, en conclusion,