Cannes, peu avant 10h sur la plage du midi, derrière la baraque 33, les tentes associatives ont planté leurs sardines dans le sable frais. Les activités matinales commencent dans une bonne humeur qu’un fort vent d’ouest n’aura pas su balayer. Jean-Yves Milcendeau, président du Sicasil, est au micro pour lancer le début des festivités. Son « 3,2,1... » provoque le départ concerté de deux pointus qui, malmenés par la brise, patientaient à quelques mètres de la plage. Les rames s’agitent en cadence alors que les deux barques de pêche fendent la mer. Sur le bateau rouge, Didier dirige l’équipée. Vice-président de l’association « Les rames de Théoule », ce capitaine jovial devra tenir ferme alors que la barre cassera entre ses mains sur la ligne de retour. Le bateau bleu, mené par l’ex-président de l’association, touche la bouée d’arrivée devant leur concurrent malheureux. Il est accueilli par le son des percussions tahitiennes qui prennent le relais de l’attention. Sur des instruments traditionnels, trois hommes frappent les rythmes de l’île. Un groupe de danseuses en pareus jaillit et charme le public qui spontanément se forme devant la scène. Bientôt, les danseurs et les musiciens invitent les spectateurs à les rejoindre pour un cours de danse improvisé. Ce bal sauvage et exotique s’allie aux allers et venues des enfants qui s’élancent vers les différents jeux et ateliers qui couvrent la plage. Tandis que les plus sages observent et commentent l’animation accoudés au « bar à eau » du Sicasil, qui toute la journée servira de l’eau fraîchement prélevée dans le canal. Midi n’a pas encore sonné et, malgré le vent qui a emporté de nombreuses activités, la journée s’annonce déjà très belle derrière la baraque 33 de la plage du midi. Cannes, peu avant 10h sur la plage du midi, derrière la baraque 33, les tentes associatives ont planté leurs sardines dans le sable frais. Les activités matinales commencent dans une bonne humeur qu’un fort vent d’ouest n’aura pas su balayer. Jean-Yves Milcendeau, président du Sicasil, est au micro pour lancer le début des festivités. Son « 3,2,1... » provoque le départ concerté de deux pointus qui, malmenés par la brise, patientaient à quelques mètres de la plage. Les rames s’agitent en cadence alors que les deux barques de pêche fendent la mer. Sur le bateau rouge, Didier dirige l’équipée. Vice-président de l’association « Les rames de Théoule », ce capitaine jovial devra tenir ferme alors que la barre cassera entre ses mains sur la ligne de retour. Le bateau bleu, mené par l’ex-président de l’association, touche la bouée d’arrivée devant leur concurrent malheureux. Il est accueilli par le son des percussions tahitiennes qui prennent le relais de l’attention. Sur des instruments traditionnels, trois hommes frappent les rythmes de l’île. Un groupe de danseuses en pareus jaillit et charme le public qui spontanément se forme devant la scène. Bientôt, les danseurs et les musiciens invitent les spectateurs à les rejoindre pour un cours de danse improvisé. Ce bal sauvage et exotique s’allie aux allers et venues des enfants qui s’élancent vers les différents jeux et ateliers qui couvrent la plage. Tandis que les plus sages observent et commentent l’animation accoudés au « bar à eau » du Cicasil, qui toute la journée servira de l’eau fraîchement prélevée dans le canal. Midi n’a pas encore sonné et, malgré le vent qui a emporté de nombreuses activités, la journée s’annonce déjà très belle derrière la baraque 33 de la plage du midi.