La journée est lancée! Et en hors-d'œuvres, les traditionnels discours. Emu – intense, même, lorsqu'il évoque les joies de son métier - Olivier Dricot, directeur du village d'enfants de Busigny, ouvre le bal. Le micro passe de main en main, sous la tutelle de Malika qui introduit les personnalités présentes aujourd'hui, notamment Siddharta Kaul, le président indien de l'association à l'échelle internationale, qui a fait le déplacement pour l'occasion. Pour ponctuer le passage des officiels, une troupe de théâtre formée par les enfants du village investit la scène. Ecrites et mises en scène par les enfants, aidés par Véronique Dimicoli et les éducatrices, les saynètes s'inspirent de l'histoire personnelle des acteurs. De leur naissance à l'arrivée au village d'enfants en passant par leur placement, les jeunes rejouent les scènes marquantes de leurs courtes vies, mélangeant leurs souvenirs pour un spectacle bouleversant de vérité. Emotion garantie. Après l'intervention commune de Gilbert Cotteau, fondateur historique du village d'enfants de Busigny, et de Jean-Pierre Rousselot, ancien président de l'association, le rythme de la journée s'accélère avec l'entrée sur scène du groupe Family One. Rapidement, la salle se transforme. Les voix des 8 chanteurs s'harmonisent pour livrer un puissant cocktail acoustique entre soul et funk. L'agitation monte dans le public. Les enfants grimpent sur la scène tandis que les plus timides se lèvent pour frapper le tempo. Après une heure de show, les membres du groupe, tous anciens orphelins des Apprentis d'Auteuil, entonnent une reprise d'Adèle sur un texte écrit par des jeunes filles du village: "Tous unis contre la violence!" jette le chœur vers le public. Des larmes de joie des jeunes auteurs aux rires frénétiques des danseurs, cette journée remplit sans conteste son objectif: réunir tous les sourires de l'enfance. La journée est lancée! Et en hors-d'œuvres, les traditionnels discours. Emu – intense, même, lorsqu'il évoque les joies de son métier - Olivier Dricot, directeur du village d'enfants de Busigny, ouvre le bal. Le micro passe de main en main, sous la tutelle de Malika qui introduit les personnalités présentes aujourd'hui, notamment Siddharta Kaul, le président indien de l'association à l'échelle internationale, qui a fait le déplacement pour l'occasion. Pour ponctuer le passage des officiels, une troupe de théâtre formée par les enfants du village investit la scène. Ecrites et mises en scène par les enfants, aidés par Véronique Dimicoli et les éducatrices, les saynètes s'inspirent de l'histoire personnelle des acteurs. De leur naissance à l'arrivée au village d'enfants en passant par leur placement, les jeunes rejouent les scènes marquantes de leurs courtes vies, mélangeant leurs souvenirs pour un spectacle bouleversant de vérité. Emotion garantie. Après l'intervention commune de Gilbert Cotteau, fondateur historique du village d'enfants de Busigny, et de Jean-Pierre Rousselot, ancien président de l'association, le rythme de la journée s'accélère avec l'entrée sur scène du groupe Family One. Rapidement, la salle se transforme. Les voix des 8 chanteurs s'harmonisent pour livrer un puissant cocktail acoustique entre soul et funk. L'agitation monte dans le public. Les enfants grimpent sur la scène tandis que les plus timides se lèvent pour frapper le tempo. Après une heure de show, les membres du groupe, tous anciens orphelins des Apprentis d'Auteuil, entonnent une reprise d'Adèle sur un texte écrit par des jeunes filles du village: "Tous unis contre la violence!" jette le chœur vers le public. Des larmes de joie des jeunes auteurs aux rires frénétiques des danseurs, cette journée remplit sans conteste son objectif: réunir tous les sourires de l'enfance.