Le petit salon de lecture des éditions AlterMondo
Des livres vivants, où il se passe toujours quelque-chose, une approche narrative qui offre plusieurs niveaux de lecture et s'adaptent tant au contenu documentaire qu'à la fiction...les parutions que vous trouverez ici sont des avant-projets, non contractuels, mais qui pourront vous donner des idées et vous montrer notre approche sur des problématiques spécifiques...
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Une collection de livrets-reportages sur la vie des villages et de leurs habitants. Des histoires vivantes et intimes, à propos du temps qui passe, de la mémoire et du vivre-ensemble.
Une collection de livrets-reportages sur la vie des villages et de leurs habitants. Des histoires vivantes et intimes, à propos du temps qui passe, de la mémoire et du vivre-ensemble.
Une recherche en collaboration avec les éditions Paroles, adaptée du récit de Violette Ailhaud.
Ici, l'histoire se racontera à plusieurs voix et, à tout moment on pourra en savoir + sur le contexte historique des événements. Une recherche en collaboration avec les éditions Paroles, adaptée du récit de Violette Ailhaud.
Ici, l'histoire se racontera à plusieurs voix et, à tout moment on pourra en savoir + sur le contexte historique des événements.
Nouvelle-Zélande, le traité de Waitangi
De Bluff au Cap Reinga, notre équipe de journalistes a constitué un recueil de témoignages inédits à propos d'un document poussiéreux quoique toujours brûlant: le traité de Waitangi. Signé en 1840, traité fondateur de la nation puis pilier de la colonisation, ce texte sulfureux et ambigu est tombé dans l'oubli pendant plus d'un siècle pour réapparaître dans la Nouvelle-Zélande contemporaine, lance de fer des revendications maoris.
Menacés de disparition au début du siècle , les maoris représentent aujourd'hui 15 pour cent de la population néo-zélandaise et leur cause est désormais soutenue par de nombreux groupes. Depuis 1975, le tribunal de Waitangi est en charge du travail de recherche historique pour déterminer l'ampleur de l'impact colonial. La Couronne britannique a officiellement reconnue sa culpabilité dans la disparition et la dégradation du mode de vie maori et de nombreuses politiques sont conduites à l'échelle nationale pour indemniser les populations lésées. 
Que le traité soit considéré comme un faux, la base d'une nation ou une duperie, il est toujours au cœur de l'actualité et du débat social néo-zélandais. Les groupes les plus vindicatifs réclament sa stricte application tandis que de nombreux historiens et intellectuels plaident la prescription. Pour le gouvernement et pour l'ensemble des citoyens, une question se pose alors: 
Peut on construire le futur en s'appuyant sur un texte vieux de 173 ans? Nouvelle-Zélande, le traité de Waitangi
De Bluff au Cap Reinga, notre équipe de journalistes a constitué un recueil de témoignages inédits à propos d'un document poussiéreux quoique toujours brûlant: le traité de Waitangi. Signé en 1840, traité fondateur de la nation puis pilier de la colonisation, ce texte sulfureux et ambigu est tombé dans l'oubli pendant plus d'un siècle pour réapparaître dans la Nouvelle-Zélande contemporaine, lance de fer des revendications maoris.
Menacés de disparition au début du siècle , les maoris représentent aujourd'hui 15 pour cent de la population néo-zélandaise et leur cause est désormais soutenue par de nombreux groupes. Depuis 1975, le tribunal de Waitangi est en charge du travail de recherche historique pour déterminer l'ampleur de l'impact colonial. La Couronne britannique a officiellement reconnue sa culpabilité dans la disparition et la dégradation du mode de vie maori et de nombreuses politiques sont conduites à l'échelle nationale pour indemniser les populations lésées. 
Que le traité soit considéré comme un faux, la base d'une nation ou une duperie, il est toujours au cœur de l'actualité et du débat social néo-zélandais. Les groupes les plus vindicatifs réclament sa stricte application tandis que de nombreux historiens et intellectuels plaident la prescription. Pour le gouvernement et pour l'ensemble des citoyens, une question se pose alors: 
Peut on construire le futur en s'appuyant sur un texte vieux de 173 ans?