Pour cette 9ème édition de LAFI BALA, David Eloy, rédacteur en chef de la revue de solidarité internationale Altermondes, s’est entouré de sept jeunes « journalistes en herbe » afin de proposer un journal quotidien du festival. Une rédaction éphémère est installée à la Cité des arts, juste à côté du jardin du Verney pour être au cœur du festival et en partager les temps forts avec les lecteurs. Durant 3 jours, ils ont arpenté le site de l’événement, le on comme le off, interroger les festivaliers, les artistes et les organisateurs, et rédiger des articles pour faire vivre ou revivre tout ce qui fait la richesse d’un tel festival mais aussi pour interpeller les lecteurs. Cette année, le journaliste Jacques Leleu du Dauphiné Libéré était de la partie en co-animant l’équipe de jeunes reporters amateurs qui ont contribué à faire vivre le festival sur le site www.ledauphine.com. Une vraie chance donnée à des amateurs pour connaître l’excitation mais aussi les contraintes du métier : aller vers les autres, les écouter, chercher à comprendre puis rendre compte le plus fidèlement possible. Une vraie chance aussi pour les nombreux lecteurs du Dauphiné Libéré version web qui ont découvert ce festival autrement. La majorité des articles que vous découvrirez dans cet i-magazine sont issus de leur travail. Pour cette 9ème édition de LAFI BALA, David Eloy, rédacteur en chef de la revue de solidarité internationale Altermondes, s’est entouré de sept jeunes « journalistes en herbe » afin de proposer un journal quotidien du festival. Une rédaction éphémère est installée à la Cité des arts, juste à côté du jardin du Verney pour être au cœur du festival et en partager les temps forts avec les lecteurs. Durant 3 jours, ils ont arpenté le site de l’événement, le on comme le off, interroger les festivaliers, les artistes et les organisateurs, et rédiger des articles pour faire vivre ou revivre tout ce qui fait la richesse d’un tel festival mais aussi pour interpeller les lecteurs. Cette année, le journaliste Jacques Leleu du Dauphiné Libéré était de la partie en co-animant l’équipe de jeunes reporters amateurs qui ont contribué à faire vivre le festival sur le site www.ledauphine.com. Une vraie chance donnée à des amateurs pour connaître l’excitation mais aussi les contraintes du métier : aller vers les autres, les écouter, chercher à comprendre puis rendre compte le plus fidèlement possible. Une vraie chance aussi pour les nombreux lecteurs du Dauphiné Libéré version web qui ont découvert ce festival autrement. La majorité des articles que vous découvrirez dans cet i-magazine sont issus de leur travail.